Vous êtes sa chose !
Vous, victime du PNM, n’êtes pas consciente de son emprise sur vous.
Il dénigre vos amis, votre famille, tous ceux qui vous tiennent à cœur.
Il critique vos loisirs, vos plaisirs, tout ce qui vous tient à cœur.
Sans vous en rendre compte, vous devenez SA CHOSE. Vous agissez comme il le souhaite et vous pensez pourtant avoir votre libre-arbitre, vous pensez être libre, vous pensez que vous décidez. Il n’en est rien…
Vous perdez confiance en vous, vous le sentez, mais vous n’avez pas conscience que c’est à cause de lui. Vous doutez, non pas de lui, mais de vous : après tout s’il est ainsi, n’est-ce pas de votre faute ? S’il s’éloigne de vous c’est parce que vous n’êtes pas disponible ! S’il est triste c’est à cause de vous ! S’il ne vous touche plus, c’est à cause de vous, vous vous laissez aller !
Vous n’êtes plus vous-même, vous devenez maussade, déprimée, dépressive, vous allez consulter un médecin, un psychiatre, il en profitera pour vous traiter de folle, d’hystérique… Mais le malade c’est bien lui, lui seul, vous n’êtes que la victime de son plan machiavélique.